Dancefloor w/ Jean du Voyage // Mille Plateaux CCN La Rochelle

Saviez-vous qu’il était possible d’assister à des performances absolument incroyables, dans ce lieu très puissant qu’est la Chapelle Fromentin ?

J’ai découvert ce lieu il y a seulement quelques semaines – honte au Rochelais que je suis depuis 15 ans – afin de tenter d’apprendre à danser.

En temps normal c’est le « OPEN-STUDIO », où chacun peut venir afin de pratiquer librement. Ce que je ne savais pas c’est que régulièrement étaient organisés quelques petits événements. C’est donc à ma grande surprise que j’ai pu assister à la performance du fabuleux Jean du Voyage, lors de laquelle les gens pouvaient là encore venir librement pratiquer leur danse. Le couard que je suis n’a osé se trémousser que timidement, mais il a néanmoins pu observer cette chose capitale : sur LR, vous pouvez vivre des mini moments-claques, dans des lieux à l’existence insoupçonnée.

Morale de l’histoire, venez à la Chapelle Fromentin pour bouger votre petit body.

Pour en savoir plus sur les horaires du CCN et venir à la Chapelle Fromentin, ciquez ici.

Collectif Hors les murs

Petit article pour montrer en photo le collectif Hors les murs, dispositif mobile de différentes associations rochelaises visant à faire acte de présence pour prévenir et aider les publics sensibles sur différents sujets, tels que la drogue, la sexualité et les violences familiales. Les photos ont été prises Place de Verdun à La Rochelle. Allez-y : le café et les gâteaux sont gratos !

Escalators à Shanghai

Et voici donc une petite série de photos d’escalators. La plupart des gens me prendront pour un psychopathe de prendre des escalators en photo (et encore, vous n’imaginez pas le nombre de vidéos que j’ai prises), certains partageront cette fascination pour ces inventions démoniaques créatrices d’obèses, où se mêlent sombres lumières et lignes de fuite.

Juliette se dirigeant avec entrain vers sa destinée.

La fameuse carte de métro… Che bella.

De la bouffe à Shanghai (part. 2)

Aventuriers mais pas trop je vous disais. Délicieux, exotique, mais ça ressemble quand même à des trucs qu’on a l’habitude de manger.

Les restaus avec les tapis et les sushis qui défilent dessus, un pur petit bonheur, qui permet cette fois de voir tout ce qu’il y a défiler devant toi. Très pratique pour goûter de nouvelles choses…

… même si c’est pas toujours très concluant.

Ce petit sentiment de puissance quand tu en viens à goûter des viennoiseries d’une supposée boulangerie française, et que les Chinois te mattent pour voir ce que tu en penses (et que tu as bien exagéré ton accent pour bien montrer que tu étais Français).
“Hey Lin, ouvre le dico français et prends un mot au pif ça fera stylé pour le nom de notre café !”
Quand Juliette a faim

De la bouffe à Shanghai (part. 1)

Allez hop, c’est parti pour vous faire une démonstration rapide de la chose qui nous anime tous les jours, notre raison de vivre, notre exutoire, notre réconfort face au stress de la nouveauté bouleversante de la vie shanghaienne : la bouffe.

Que serait la découverte d’un pays sans goûter son Macdo ? Faut dire aussi qu’après plus de 24 heures de voyage, on a clairement pas envie d’être aventurier culinairement parlant. C’est donc l’occasion d’être ce qu’on pourrait appeler : un explorateur gustatif mais pas trop.

Toujours dans le thème “je goûte des trucs nouveaux mais en restant dans mon confort d’occidental” : Tacos Bell. Faut dire que même en France, on manque de trucs hyper jouissifs à manger. Du coup, Shanghai c’est quand même l’opportunité de manger des trucs que seule une ville de titan peut t’apporter.

Que serait une grande ville sans son Starbucks et le sentiment de puissance qui t’envahit quand ça y’est, tu appartiens enfin à la catégorie de gens qui ont assez d’argent pour se payer un smoothie à 10€ ? Je bois Starbucks donc je suis.

“Je bois Starbucks, j’étudie Starbucks.”

Ah, les Lawson, Family Mart et Seven Eleven. Paradis de la bouffe ouverts 24/24h et sans doute créateurs d’obèses. C’est donc là aussi le moment rêvé de goûter à des trucs que tu ne peux manger qu’en Asie : Onigiris, rouleaux de makis entiers, plats de nouilles préparés… Ce qui est absolument génial, c’est qu’en plus de coûter que dalle, les mecs de la supérette te réchauffent tes plats. Du coup, tu n’as plus qu’à rentrer chez toi pour manger tranquillou. Pour tout ce qu’il y a sur la photo, comptez à peine 12€.

Pas healthy mais hell yeah quand c’est dans ta bouche.

Les mecs me connaissent clairement pas.

Quand tu rentres dans un restau au pif et que… et que…

…et que t’as le droit de fumer, pour le plus grand bonheur de Juliette.

Truc très rigolo en Chine (ou en tout cas à Shanghai), c’est que les mecs affichent leurs résultats aux normes d’hygiène. Y’a 3 possibilités : excellent, passable, à améliorer. Pour revenir au sol ignoble sur la première photo, il me semble que culturellement ce soit assez normal de tout jeter par terre, pour ensuite tout ramasser à la fin de ton repas.

Shanghai

Boum bébé. Cette fois-ci direction Shanghai (en Chine pour ceux qui le savaient pas encore). Petites photos histoire de vous divertir un peu pour ceux qui arrivent à rester concentrés plus de 10 secondes sur une page.

Pour commencer, petite série de photos d’aéroport, de métro and co, des trucs sympatoches à matter pour ceux qui aiment les trucs un peu clair-obscur.

 

Chinoise pensive
Chinoise pensive

 

La petite ruelle dans laquelle on loge avec Juliette.
La petite ruelle dans laquelle on loge avec Juliette.

 

Ca fait un peu penser à une cover de Reservoir Dogs.
Ca fait un peu penser à une cover de Reservoir Dogs.

 

Lumières très intéressantes à Shanghai.
Lumières très intéressantes à Shanghai.

 

On voit ptet pas bien sur cette photo mais le Chinois a un air conquérant. Un peu comme la sensation qu’on a quand on est blanc et Français à Shanghai (sensation qui descend très vite le peu de fois où on se remet à parler anglais).
On voit ptet pas bien sur cette photo mais le Chinois a un air conquérant. Un peu comme la sensation qu’on a quand on est blanc et Français à Shanghai (sensation qui descend très vite le peu de fois où on se remet à parler anglais).

 

Pas mal d’arbres à Shanghai. Gros mélange entre arbres et urbanisme poussé à son paroxysme. Bon là on voit clairement que dalle, j’ai juste mis cette photo pour l’esthétisme.

 

 

Nanjing Road, rue piétonne. Petit bonheur commercial pour ceux qui aiment faire du shopping et s’évader de la réalité en existant à travers les fringues qu’ils achètent.

 

 

Mais à quel moment l’Homme a-t-il eu l’idée de faire des trucs aussi fous ?

 

SEND NUDES

 

Voilà sinon pour l’instant que dire ? Je m’amuse à éternuer aussi fort que les Chinois car là-bas c’est absolument pas mal vu (et dieu sait que j’éternue avec cette fichue pollution).

Futur inévitable post à venir : la bouffe. Et un autre parlant du fait que les Chinois s’en battent les couilles d’absolument tout et que c’est très rigolo à observer.

PS :Terminal L44, aéroport Paris Charles de Gaulle

Photos Vieux-Port de La Rochelle – Victoire Coupe du Monde 2018

Petites photos prises sur le Vieux-Port de La Rochelle lors de la victoire de la finale de Coupe du Monde de football 2018. Je précise que je suis arrivé pile-poil au moment du coup de sifflet final. Le contraste émotionnel « seul chez moi » / « foule pas calme du tout » a été assez violent.

Mes photos ayant été reprises par Sud-Ouest, ma vanité en fut bien grande.

De la bouffe à Bangkok

Sujet très intéressant que la bouffe thaïlandaise. Venir en Thaïlande, c’est l’occasion de goûter à plein de trucs différents. Et pourtant, quand on y est, la plupart du temps, on est tenté de… ne pas s’aventurer du tout.

J’ai pu observer ce phénomène avec moi-même, mais aussi en observant Juliette, et d’autres occidentaux. On a tellement peur de faire un mauvais choix en regardant les menus, qu’on s’accroche à ce qui nous semble le plus familier : tout ce qui est à base de nouilles, riz, viande.

Il y a aussi le choix du restaurant, ou plutôt du marchant de bouffe ambulant, qui est très difficile. Il y en a tellement, et les conditions d’hygiène sont tellement différentes des nôtres… Qu’on passe facilement 1 heure à parcourir toutes les rues à la recherche de tous les signaux rassurants, qui vont faire qu’on aura pas envie de gerber une heure après avoir mangé. Va-t-on manger du chat ? Les normes HACCP sont-elles respectées ? Est-ce que ça va être bon ? Est-ce que j’ai le droit de manger comme ça ? Est-ce que c’est vraiment normal de bouffer de la soupe à 10h du matin ?

Du coup, il a fallu que je me mette un gros coup de pied au cul, en m’imposant notamment un crédo (que je respecte une fois sur deux) : commander ce qui a l’air le plus dégueulasse/chelou possible. Et ça réserve la plupart du temps de très bonnes surprises – une fois la découverte vomitive de la texture passée.

Bref, voici quelques photos :

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On nous a servi ça en accompagnement du pad thaï (en gros des nouilles au poulet frit. Super bon, valeur sûre du bon petit occidental en quête de repère culinaire). En voyant autour de nous les Thaïlandais ne pas y toucher, on se posait la question : faut-il le manger ? Les trucs verts, c’est pour se curer les dents ? Tant de mystères insolubles.

 

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Forcément il fallait bien à moment que je me retrouve avec un truc indéfinissable dans l’assiette. Une algue sans doute ? Ou peut-être une espèce de méduse ?

 

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Les Thaïs semblent raffoler de tout ce qui est à base de thé. Les KitKat, les Oreos…. Pas si mauvais que ça au final.

 

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La grosse difficulté qu’on a eue en arrivant : trouver un café pour se poser durant nos 3 heures de battement avant de pouvoir intégrer notre logement. Eh oui, en Thaïlande on ne boit pas de café, sauf s’il est accompagné de beaucoup de glace et de lait. Super bon. Et pour le commerce en lui-même, assez difficile à trouver. À chaque fois qu’on est tombé dessus, c’était un truc ressemblant grandement à tout ce qui est Starbucks and co.

 

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L’incroyable et salvatrice surprise de Bangkok : les Seven-Eleven. Chaîne de supérettes à l’occidentale, il y en a à tous les coins de rue. C’est ouvert 24/24h, on peut y trouver de tout, et surtout, SURTOUT, il y a la clim. Le plus intéressant, c’est que pour ceux qui ont le besoin vital de bouffer après avoir pris une charge, eh bien il y a de la bouffe. Des nigiris (cf la photo, des triangles de riz fourrés) aux plats tout prêts, c’est le pur bonheur. C’est en général assez bon, pas du tout cher (l’équivalent de 1€50), et en plus les vendeurs vous le réchauffent au micro-ondes, le mettent dans votre poche avec des couverts en plastique et hop, plus qu’à manger. D’ailleurs autre fait intéressant, à Bangkok, quoiqu’on te vende en bouffe, on te le met dans une poche plastique. Même si tu prends un smoothie. Car il y a très peu de poubelles dans la rue, et il me semble que c’est une mesure visant à réduire au maximum la pollution d’ordures.

 

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On tombe donc aussi sur des trucs très appétissants, à base de poulet et porc frit, nouilles sautées, oeufs frits… Et qui sont tout aussi délicieux.

 

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Juste pour montrer qu’en Thaïlande, on vous met des pailles partout. Quand vous achetez une bouteille d’eau, on vous fournis les pailles avec dans la poche. Là c’est chez un marchand de rue. Paf, la paille.

Bref voilà j’ai dit quelques petites banalités de façon un peu dispersée, mais c’est une globalité qui surprend et émerveille. Mon conseil ultime encore une fois : venez à Bangkok pour vous faire submerger par tous ces détails. J’ai écrit en titre “partie 1″, car il y a tellement de choses à dire sur la bouffe thai et sur ce qui l’entoure, que je suis à peu près convaincu de redire des choses à ce propos !

Lumières aéroportuaires

Vous aussi vous avez du mal à écrire le mot aéroport ?

Je suis toujours très impressionné par les aéroports. Le gigantisme des infrastructures, l’architecture. M’imaginer la complexité de la réalisation d’une telle chose me laisse toujours une très grande impression.

Et puis, il y a les lumières. Elles sont parfois grises, métalliques, diffuses, offrant de très beaux contrastes et enveloppant tout votre corps et votre esprit dans la complexité enivrante de l’aéroport.

 


| Aéroport de Bordeaux Mérignac

 

Vous saviez qu’il était possible de chiller allongé dans de gros fauteuils en matant les avions décoller ?


| Aéroport Charles de Gaulle – You know where it is

 


| Suvarnabhumi – Bangkok